Aujourd'hui,

Le lundi 20 mars 2023, aux environs de 08 heures, alors qu’ils exécutaient une mission de régulation de la circulation routière au carrefour clinique Schiphra, des policiers relevant du Service Régional de la Circulation et de la Sécurité Routière du Centre (SRCSR-C) ont été alertés par deux dames d’un cas de tentative de suicide par noyade dans le barrage de Tanghin.

𝐋𝐞 𝐏𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞𝐫 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐫𝐞, 𝐂𝐡𝐞𝐟 𝐝𝐮 𝐠𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐌𝐞 𝐀𝐩𝐨𝐥𝐥𝐢𝐧𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐉𝐨𝐚𝐜𝐡𝐢𝐦𝐬𝐨𝐦 𝐊yélem 𝐝𝐞 𝐓𝐚𝐦𝐛𝐞𝐥𝐚 𝐚 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐝𝐞́, 𝐜𝐞 𝐬𝐚𝐦𝐞𝐝𝐢 𝟒 𝐟𝐞́𝐯𝐫𝐢𝐞𝐫 𝟐𝟎𝟐𝟑, 𝐥𝐚 𝐜𝐞́𝐫𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐨𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐥𝐨̂𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝟏𝟔𝐞 𝐞́𝐝𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐒𝐚𝐥𝐨𝐧 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥'𝐀𝐫𝐭𝐢𝐬𝐚𝐧𝐚𝐭 𝐝𝐞 𝐎𝐮𝐚𝐠𝐚𝐝𝐨𝐮𝐠𝐨𝐮.

En Guinée-Conakry, les présumés auteurs de l'effroyable massacre commis au stade de Conakry, le 28 septembre 2009, vont être jugées à partir de ce mercredi 28 septembre 2009 sous le regard du Procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Asad Ahmad Khan, arrivé en Guinée mardi soir, selon des médias locaux.

Le Bureau burkinabè du droit d'auteur (BBDA) a tenu une conférence de presse ce 24 février 2023, sur la première répartition de l'année 2023.
Dans son allocution, le Directeur général du BBDA, Hamed dit Patindeba Patric LEGA, a précisé que la conférence de presse avant chaque début de paiement est un exercice de redevabilité en ce sens que les artistes ont donné mandat au BBDA de gérer leurs droits dans l'optique d'améliorer leurs conditions de vie et de travail. Ainsi, a-t-il rassuré de son engagement et sa volonté à <<faire du droit d'auteur, une véritable clé pour l'épanouissement des créateurs>>.

CANAL+ n’a pas acquis les droits de diffusion de la coupe du monde qui s’ouvre le 20 novembre 2022 au Qatar. Mais soucieuse de voir ses abonnés suivre cette grande compétition de football, la société a pris certaines dispositions au Burkina. 

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SOCIETE

L'Organisation démocratique de la jeunesse (ODJ), le Collectif contre l'impunité et la stigmatisation des communautés (CISC) et le Mouvement burkinabè des droits de l’homme et des peuples (MBDHP) étaient face à la presse ce vendredi 16 août 2019 à Ouagadougou. Une occasion pour ces organisations d'informer l'opinion publique du refus manifeste des autorités de procéder à l'autopsie de quatre de leurs camarades ''assassinés'' en mai dernier. 

Selon les conférenciers du jour, il s’agit de l’autopsie des corps « de Cissé Fahadou et Balima Hama, deux responsables de l’ODJ assassinés le vendredi 31 mai 2019 à Sebba  et celle des corps de Diakité Saliou, mort le 23 mai 2019 entre les mains de la gendarmerie, et Diallo Abdoul Karim mort à l’hôpital Yalgado après y avoir été transféré par la gendarmerie de Barsalogho ».

Pour ces mouvements, cela fait trois mois que dure donc la déception des parents et camarades de luttes des militants de l'ODJ et autres assassinés. Trois mois qu'ils disent attendre que la lumière soit faite afin qu'ils puissent organiser des obsèques en leur mémoire. A les écouter, en lieu et place d'un traitement diligent et sérieux des dossiers, les responsables de leurs organisations ainsi que des proches des victimes font face à la stigmatisation, à des intimidations, à des menaces et à des manœuvres dilatoires. 

Selon Chrysogone Zougmoré, président du MBDHP, les Organisations de la société civile ont eu une audience avec le ministre en charge de la Justice. Une rencontre, à l'en croire, qui a laissé entrevoir des espoirs qui se sont vite dissipés et qui présagent à un début d'aveux de culpabilité.  « Au regard de toutes ces péripéties, nous sommes en droit de nous demander légitimement: À qui profitent ces assassinats ? En tout cas, le MPP et ses alliés, qui gèrent l’appareil politico-judiciaire et militaire, jouent sur le temps et la lassitude des parents et compagnons de lutte des victimes. Ils mettent les démocrates, progressistes et révolutionnaires à l’épreuve, avec le secret espoir que le temps érode leur moral et leur détermination » a affirmé le président de l’ODJ, Gabin Korbéogo.

Face à « ces pressions », il appelle ainsi les démocrates, les progressistes et les révolutionnaires à se mobiliser pour la construction d'un large front de lutte. Une lutte pour dénoncer la lenteur des procédures judiciaires qui seraient en cours, pour exiger, entre autres, l'arrêt des assassinats ciblés et de masses de Yirgou, Kaïn, Banh, et Ziniaré. 

« Aussi, cette lutte a pour but de dénoncer des arrestations arbitraires, des disparitions forcées ainsi que le démantèlement des escadrons de la mort, exiger l'accélération du processus judiciaire » a expliqué M. Korbéogo. Déjà, ces OSC organisent ce samedi 17 août une marche de recueillement suivi d'un meeting devant la morgue de l’hôpital du district de Bogodogo.

Un meeting est également prévu le 31 août prochain à Ouagadougou suivi d'un panel sous le thème « la justice dans un contexte d'extrémisme violent ».